L ONG (CJV-PME)organise une Conférence debat pour prévenir et éradiquer le harcèlement en milieu scolaire »

Club des Jeunes Volontaires pour la Promotion du Mérite et de l’Excellence (CJV-PME)Respect-Mérite-Excellence a organisé une conférence débat d’échange ce ,samedi 10 Mai 2025 .

Cette conférence vise à rassembler les parties prenantes: Educateurs, élèves,
parents, organisations de la société civile pour discuter des meilleures pratiques .
Dans son allocution la Responsable du Programme Fanta Traoré a planté le decor de la conférence débat Merci d’être présents aujourd’hui pour cette conférence, un moment crucial
pour parler d’un sujet qui nous concerne tous : le mérite, les compétences
Par excellence dans L’apprentissage pour prévenir et éradiquer le harcèlement en milieu scolaire.
dispute Le harcèlement scolaire, ce n’est pas un simple conflit ou une
passagère. C’est une violence répété, verbale, physique ou psychologique, o
touche trop d’enfants et d’adolescents, souvent dans le silence. Il peut prendre
de nombreuses formes : moqueries, insultes, exclusions, coups…
Et aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, il se prolonge même en dehors
l’école. Les conséquences sont graves : perte de confiance, isolement, échec scolaire
voire des drames irréversibles. Aucun enfant ne devrait avoir peur d’aller a
l école. Aucune victime ne doit se sentir seule ou coupable. Et aucun témoin ne doit rester silencieux.

Poursuivant Fanta Traoré (Mais la bonne nouvelle, c’est que nous avons tous un rôle à jouer.
Les élèves, en apprenant à répéter, à parler à soutenir.
Les enseignants, en créant un climat bienveillant, à l’écoute.
– Les parents, en étant attentifs aux signes, en dialoguant sans juger.
Et nous, en tant que communauté éducative, en mettant en place des actions
concrètes: prévention, sensibilisation, médiation.
Briser le silence, c’est le premier pas. La parole est une force. Ecouter,
déjà agir.
Ensemble, créons un environnement où chacun se sent en sécurité,
revalorisé.
Je vous invite à poursuivre cette réflexion ensemble, à travers les ateliers) a t’elle conclus .

De son côté Monsieur yatîgna Mansaré a mis l’accent sur l’engagement de chaque citoyen contre le harcèlement .
C’est avec une profonde émotion et un grand sens de la responsabilité que Yatîgna Mansaré a pris la parole ce matin, saluant d’emblée l’intervention brillante de Madame Moussa Yero Bah. Reconnaissant la difficulté de s’exprimer après une figure emblématique du paysage médiatique guinéen, il a tenu à la remercier pour sa communication percutante sur un sujet aussi sensible : le harcèlement, notamment en milieu scolaire.

« Le harcèlement est une violence silencieuse », a-t-il rappelé, soulignant que cette forme d’abus, bien que souvent discrète, peut avoir des conséquences dévastatrices. Ce fléau ne se limite pas à l’environnement scolaire, mais touche aussi les sphères professionnelles, politiques et sociales.

Dans le monde politique, Yatîgna Mansaré a dénoncé une forme insidieuse de harcèlement : celle qui oblige certaines jeunes militantes à accepter des relations intimes avec des responsables de parti pour espérer une représentation au sein d’instances de décision. Un constat alarmant, mais tristement courant selon lui.

Revenant au cœur de la thématique – le harcèlement scolaire – il a appelé à une prise de conscience collective. « Lorsqu’on est victime, il ne faut surtout pas se taire. Le silence tue », a-t-il insisté, invitant les jeunes à parler, à se confier, même à une seule personne de confiance. Il a aussi rappelé l’existence d’instruments étatiques et juridiques, tels que le Code de l’Enfant, qui protègent les victimes.

Pour Mansaré, chacun a un rôle à jouer. « Si chacun agissait à son niveau, en brisant le silence et en soutenant les victimes, nous pourrions atténuer l’ampleur de cette pratique destructrice dans nos écoles. »

Par cette prise de parole engagée, yatîgna Mansaré a lancé un appel clair : ne plus tolérer le harcèlement sous aucune forme et faire de la lutte contre ce fléau une priorité collective.
Lutter contre le harcèlement en milieu scolaire : l’appel engagé de Gnatîgna Mansaré

C’est avec une profonde émotion et un grand sens de la responsabilité que Gnatîgna Mansaré a pris la parole ce matin, saluant d’emblée l’intervention brillante de Madame Moussa Yero Bah. Reconnaissant la difficulté de s’exprimer après une figure emblématique du paysage médiatique guinéen, il a tenu à la remercier pour sa communication percutante sur un sujet aussi sensible : le harcèlement, notamment en milieu scolaire.

« Le harcèlement est une violence silencieuse », a-t-il rappelé, soulignant que cette forme d’abus, bien que souvent discrète, peut avoir des conséquences dévastatrices. Ce fléau ne se limite pas à l’environnement scolaire, mais touche aussi les sphères professionnelles, politiques et sociales.

Dans le monde politique, Gnatîgna Mansaré a dénoncé une forme insidieuse de harcèlement : celle qui oblige certaines jeunes militantes à accepter des relations intimes avec des responsables de parti pour espérer une représentation au sein d’instances de décision. Un constat alarmant, mais tristement courant selon lui.

Revenant au cœur de la thématique – le harcèlement scolaire – il a appelé à une prise de conscience collective. « Lorsqu’on est victime, il ne faut surtout pas se taire. Le silence tue », a-t-il insisté, invitant les jeunes à parler, à se confier, même à une seule personne de confiance. Il a aussi rappelé l’existence d’instruments étatiques et juridiques, tels que le Code de l’Enfant, qui protègent les victimes.

Pour Mansaré, chacun a un rôle à jouer. « Si chacun agissait à son niveau, en brisant le silence et en soutenant les victimes, nous pourrions atténuer l’ampleur de cette pratique destructrice dans nos écoles. »

Par cette prise de parole engagée, Gnatîgna Mansaré a lancé un appel clair : ne plus tolérer le harcèlement sous aucune forme et faire de la lutte contre ce fléau une priorité collective.

Thierno Mamadou taire Balde

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